Au fur et à mesure que la Commission européenne déploie sa surveillance économique, les passes d’armes se multiplient entre la France et l’UE. Fruit du « semestre européen », les étapes de la discussion, alternant prévisions économiques et recommandations, sont théoriquement bien huilées.
Mais, dans les faits, la mécanique se grippe souvent, faute de consensus sur le rôle que la Commission européenne devrait jouer. Distributeur de mauvais points ou médiateur patient ? A ce stade, la première option prédomine.
Le dernier exemple en date…