Le mercato ministériel à Bercy envoie des signaux au plan intérieur autant qu’à Bruxelles, où la teneur des discussions économiques est considérablement montée en puissance ces dernières années dans l’enceinte du Conseil des ministres européens.
À l’issue des annonces du 2 avril, les responsabilités qui incombaient à Pierre Moscovici sont complètement revisitées. L’économie passe aux mains d’Arnaud Montebourg, passé maître dans l’art du Bruxelles-bashing et apôtre du « made in France ».
Mais ce n'est pas lui qui devrait siéger dans les…