Fin 2013, la France n’avait « aucune marge » . Cinq mois plus tard, elle en a encore moins, mais ne désespère pas d’arriver à ses fins.
En clair, repousser les limites du pacte de stabilité sans donner l’impression de le fouler aux pieds. Cette fois, la voie est étroite, même si beaucoup de facteurs, techniques et politiques, peuvent créer de la marge de manœuvre.
L’accent mis sur la surveillance des dépenses déconnectées de la conjoncture (ajustement structurel), plutôt que sur le…
Prochaines étapes
23 avril : présentation du programme de stabilité de la France
Début mai : prévisions économiques de la Commission européenne
2 juin : présentation des recommandations de la Commission européenne