Trop limité, trop centralisé, trop compliqué…
Le plan Juncker essuie des critiques depuis les annonces faites en décembre, même si sa nécessité n’est pas remise en cause. Ni les États ni les banques publiques nationales ne se sont bousculés pour augmenter la force de frappe des 21 milliards d’euros de garanties servant à appâter les investisseurs privés. A Bruxelles, le 27 janvier, la réunion des ministres des Finances a confirmé ce peu d’appétence.
Cette prudence peut étonner, à l’heure où…