Les appels du pied lancés vigoureusement par Jean-Claude Juncker n'ont pas été entendus. « Je n'ai pas besoin de paroles, mais d'argent », arguait le président de la Commission européenne à Strasbourg, le 17 décembre.
Les destinataires du message l'ont éconduit dès le lendemain, au terme d'un sommet européen éclair concentré sur une soirée.
« Nous ne prévoyons pas de faire de contribution, a rétorqué le Premier ministre finlandais Alexander Stubb. Les attentes doivent être modestes. »
Plus conciliant, le…