Les marges de manoeuvre de Bruno Le Roux pour sanctionner les députés frondeurs et les obliger à rentrer au bercail sont limitées. La menace , brandie contre l'aile gauche, qui renacle à voter le pacte de stabilité mardi 29 avril, risque de ne pas avoir d'effets concrets.
Chaque député tient ses pouvoirs de son élection. Il n'est donc pas possible pour un président de groupe d'interdire à ses députés d'aller dans l'hémicycle, de participer aux débats, de voter, de donner des interviews dans…