Les prémices d’une surveillance européenne du marché automobile

L’accord obtenu le 7 décembre entre le Conseil de l’UE et le Parlement, après deux ans de négociations, conserve la possibilité pour la Commission de prélever des véhicules en circulation pour effectuer des tests, d’imposer des amendes et des rappels. Mais le système demeure principalement contrôlé par les États.
07 décembre 2017 à 18h30
Transports

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