Ce week-end devait être le bon : les créanciers privés devaient se résigner à prendre leurs pertes, les responsables politiques grecs devaient s’accorder sur de nouvelles mesures d’austérité et le couple franco-allemand devait annoncer conjointement ces nouvelles avancées devant les téléspectateurs. Il n’en a rien été.
Les nouvelles baisses de salaires exigées par la troïka se heurtent à l’opposition des chefs des trois partis de la coalition gouvernementale (le PS, le parti de droite Nouvelle démocratie et l’extrême droite Laos).…