La participation des créanciers privés au sauvetage de la Grèce a été mis sur la table une première fois le 21 juillet, puis le 26 octobre , chaque sommet de crise débouchant sur révision à la hausse des pertes (21% puis 50%).
Près de six mois se sont écoulés, sans que les bailleurs (banques, fonds privés…) ne fassent la preuve de leur volonté de coopérer. Résultat, le patient grec est toujours fébrile et bien incapable de rembourser les 14,5 milliards…