Les deux dirigeants auraient pu faire sensation, mais le 14ème Conseil des ministres franco-allemand s’est finalement conclu de manière plus fade que prévu. En l’absence d’un accord entre la Grèce et ses créanciers privés comme publics, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ne pouvaient qu’exhorter le pays à remplir ses obligations. Il faut régler la crise grecque "une bonne fois pour toutes", a résumé le président. "Le temps presse pour Athènes", a insisté la chancelière allemande.
Renforcer la surveillance budgétaire
Les…