En claquant la porte des négociations sur la restructuration de la dette grecque, vendredi 13 janvier, les principaux créanciers privés d’Athènes ont amorcé une bombe à retardement qui pourrait bien exploser le 20 mars prochain.
A cette date, le gouvernement grec ne pourra honorer les 14,5 milliards d’euros de dettes arrivées à échéance, sans l’aide de la Troïka. Mais pas question pour le trio formé par le Fonds monétaire international (FMI), la Banque centrale européenne (BCE) et la Commission d’accorder…