Fade, incompétente, effacée voire invisible… Les critiques les plus acerbes se sont abattues sur Catherine Ashton depuis sa désignation à la tête des affaires étrangères européennes à la fin de l’année 2009. Sa tâche « n’est pas facile », rétorque Pierre Vimont. Du propre aveu de ce diplomate chevronné, aujourd’hui bras droit de la Britannique tant décriée, Lady Ashton pilote « un service qui est partout et nulle part. »
De quoi donner du grain à moudre aux députés venus…