Ils sont environ 4000 à s’entasser dans le camp de Choucha, installé à quelques kilomètres du poste frontière de Ras Jdir entre la Tunisie et la Lybie.
Soudanais, Erythréens, Somaliens, ces réfugiés fuient les conflits ethniques qui sévissent dans leur pays d’origine. Avant de connaître les tentes de l’ONU, ces hommes, ces femmes et ces enfants s’étaient légalement établis en Libye.
Le résultat du « traité d’amitié » entre Tripoli et Rome, qui soulageait l’Italie voisine de la prise en…