Une soixantaine de délégations ont décidé à Paris, jeudi 1er septembre, de dégeler 15 milliards de dollars d’avoir libyens pour aider le pays à subvenir rapidement aux besoin de la population. L’ONU était présente, l’Union européenne aussi, mais en arrière plan.
Pour l’anecdote, ni la chef de la diplomatie de l’Union Catherine Ashton, ni le président du Conseil européen Herman Van Rompuy n’ont été invités à la conférence de presse finale. Seuls le Président français, le Premier ministre britannique, les…