L’homosexualité ne se décrète pas, elle se prouve. C’est l’avis des autorités tchèques qui préfèrent juger sur pièce lorsqu’une personne victime de persécutions homophobes dans son pays d’origine demande l’asile.
Des images pornographiques hétérosexuelles, un dispositif contrôlant l’afflux sanguin dans le pénis et un praticien chargé d’observer la réaction provoquée par les images. Ce détecteur de mensonges porte le nom de "test phallométrique".
"J’ai été très surpris en prenant connaissance de ces pratiques. C’est complètement inacceptable et inhumain", a réagi…