Du Nord au Sud de l'Europe en passant par l'Est, les gouvernements des « petits » États entonnent la même complainte contre le projet d'ouverture à la concurrence des lignes nationales de chemins de fer.
« Nous sommes tout à fait opposés » à une libéralisation « forcée » des « contrats de service public », a d'emblée annoncé le ministre luxembourgeois des Transports, François Bausch, lors d'une rencontre avec ses homologues à Bruxelles, le 13 mars.