Les dernières discussions sur le quatrième paquet ferroviaire n’ont fait que renforcer les oppositions entre le Parlement et les États. La présidence lettone accuse le Parlement d’immobilisme. Comment réagissez-vous ?
La présidence lettone est bien préparée et fait ce qu’elle peut, mais évidemment, elle dépend du Conseil.
Après le dernier trilogue, il n’y a eu aucun mouvement de sa part. Elle n’accepte pas que l’Agence ferroviaire européenne (ERA) ait le dernier mot sur l’interopérabilité (voir ci-contre) ou les questions liées…