Édouard Philippe, un détracteur du canal Seine-Nord à Matignon

La nomination du maire du Havre au poste de Premier ministre relance les doutes sur le lancement de ce chantier pharaonique, que le gouvernement sortant s’est employé à accélérer ces dernières semaines.
16 mai 2017 à 8h00
Transports, Territoires

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La table ronde organisée au Sénat le 6 décembre a ressemblé à un enterrement du projet de canal Seine-Nord. Car avec l'incertitude sur la poursuite de l'engagement financier de Bruxelles après 2020, c'est tout le cofinancement français, déjà incertain, qui risque de s'éffondrer.

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Canal Seine Nord : casse-tête financier pour la France

Peu favorable au projet sélectionné par Bruxelles, Bercy nourrit des doutes sur le devis du projet estimé à 4,5 milliards d’euros, ainsi que sur le sérieux des études de trafic. De quoi compliquer le cofinancement que la France doit maintenant assurer.

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