C’est le paradoxe du budget européen : une baisse de volume globale à l’échelle des 28 Etats pour 2014-2020, mais une répartition plutôt avantageuse pour les régions françaises, qui s’apprêtent à gérer elles-mêmes les fonds structurels au moment où leur montant se maintient, voire progresse considérablement pour certains territoires.
Après des discussions serrées entre les élus, l’arbitrage a enfin été rendu, les chiffres entérinés par Matignon puis notifiés à la Commission le 12 décembre.
Sur un budget global (Feder/FSE) de…