Les négociations budgétaires pour 2014-2020 entrent dans leur dernière ligne droite, phase critique où les Etats rangent l’esprit européen au placard pour s’adonner à ce qu’ils maîtrisent le mieux : la défense des intérêts nationaux.
Paris n’échappe pas à cette règle. Première à dénoncer les effets pervers du chèque britannique (entre 3 et 4 milliards d’euros annuels) et les multiples rabais parallèles dont bénéficient l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas ou encore l’Autriche, la France pourraient se résigner à recourir au même…