Habitué aux coups d'éclat, le premier ministre britannique ne perd pas une occasion pour mettre ses partenaires devant le fait accompli. Dans une intervention efficace de moins d'une minute, David Cameron a donné le ton dès son arrivée au pied du bâtiment du Conseil à Bruxelles, jeudi 27 juin : "Il est absolument essentiel que nous en restions à l'accord de février, a-t-il martelé, et que nous protégions le rabais britannique."
Le message s'adresse particulièrement à la France, accusée par…