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Présidence de l’UE : ces Suédois qui vont compter
Le pays scandinave préside depuis le 1ᵉʳ janvier le cénacle des États membres. À cette position, la Suède a la lourde tâche de faire avancer les négociations entre les Vingt-Sept et avec le Parlement européen sur tous les dossiers législatifs en cours. Contexte a identifié pour vous les personnalités clés pour cet exercice.
Cyril Piquemal, un diplomate ultrapolitique dans le bain de la technique bruxelloise
Le nouveau numéro deux de l’ambassade de France auprès de l’UE a fait ses classes à Sciences Po, à l’ENA, puis au Quai d’Orsay. Mais cet ex-militant de gauche a aussi suivi un cursus plus singulier, à la CGT et auprès de Ségolène Royal. Portrait d’un haut diplomate « qui va au combat ».
Avec Emmanuel Puisais-Jauvin, le Quai d’Orsay marque son retour au SGAE
La nomination d’un conseiller des Affaires étrangères comme secrétaire général des affaires européennes rend ce poste au corps diplomatique, qui l’a majoritairement occupé ces vingt dernières années.
À Bruxelles, les six mois sous tension de la présidence française
Le mandat de la France à la tête du Conseil de l’UE a pris fin le 30 juin, au terme d’un semestre frénétique rythmé par l’adoption de six trains de sanctions contre la Russie et de dizaines d’accords entre États membres et avec le Parlement. Emmanuel Macron en a aussi profité pour promouvoir ses idées fétiches, comme l’autonomie stratégique, mais aussi le concept de « communauté politique européenne ».
Le secrétaire général du Conseil, un rouage discret mais essentiel de la mécanique bruxelloise
Une discrète lutte d’influence se joue actuellement sur le choix du prochain occupant de ce poste. Ce rôle méconnu implique un réel pouvoir sur la conduite du travail de l’institution. Il constitue aussi un support important pour le président du Conseil européen Charles Michel, qui garde la main sur le processus de sélection.