Il y a toujours des choses qu’on aurait voulu faire autrement. « Pour ce qui me concerne, mieux m’alimenter et moins fumer », regrette un diplomate français après six mois en surchauffe, le temps de la présidence française du Conseil de l’UE.
Hormis ce mea culpa très personnel, les autorités françaises se flattent d’avoir mené à bien « de 95 % à 97 % » de leur programme initial, fixé par Emmanuel Macron, alors candidat à sa réélection. Une prouesse…