Sur l’espace Schengen comme dans d’autres domaines, le nouveau gouvernement doit gérer avec plus ou moins de confort le leg reçu de la droite. Défouloir politique pendant la campagne, le thème de l’immigration a été pris d’assaut et les coupables vite trouvés : le fonctionnement de Schengen est défaillant, la fermeture des frontières doit donc être facilitée.
En s’asseyant pour la première fois à la table des négociations européennes, le nouveau ministre de l’Intérieur a voulu « apaiser le débat…