S'il était encore premier ministre, l'Italien Mario Monti aurait pu récolter les fruits de son travail de longue haleine entrepris avec Bruxelles, dont il souhaitait obtenir une approche plus favorable aux dépenses publiques d'investissement . Sans dérogation ou violation des règles budgétaires. Le tout était de pouvoir activer des dispositions prévues par le pacte de stabilité européen.
La réponse a été donnée le 3 juillet. Dans une lettre adressée aux ministres des Finances et aux parlementaires européens, le commissaire aux…