A l'heure où ils prennent leur pause estivale, les élus de Strasbourg estiment que l'opération a été couronnée de succès : leur souhait de "démocratiser" l'UE en déterminant le successeur de José Manuel Barroso a été exaucé.
Le 27 juin, les chefs d'Etat ont intronisé Jean-Claude Juncker, candidat investi quatre mois plus tôt par le Parti populaire européen, qui a obtenu 30 sièges d'avance sur les sociaux-democrates aux élections du 25 mai. Logique, donc, que les clés du Berlaymont reviennent…