Placer l’Europe dans un discours est un exercice redoutable, où le fond et la technique vont souvent de pair. Lors d’un débat organisé à l’Université d’été de la Rochelle, Martine Aubry a préféré se concentrer sur des généralités plutôt que de donner forme au contenu de son programme.
Dans le traitement de la crise de la dette, « l’Europe est arrivée trop tard, timidement et à contretemps. », estime la candidate. Un résultat qu’elle impute au tandem de Nicolas Sarkozy…