Le chef de file des radicaux de gauche avait du retard à rattraper sur ses rivaux. Jusqu’ici, le trublion de la primaire socialiste avait moins fait parler de lui pour ses idées que pour ses ennuis judiciaires.
Il était donc temps que le bourdonnement médiatique autour de l’exécution d’un contrat éditorial pour le magazine du Tarn-et-Garonne ne soit pas l’unique sujet de conversation animant la candidature de Jean-Michel Baylet.
L’université d’été des radicaux, qui se tenait à Seignosse les 3…