La gifle du 25 mai aura peut-être un effet salutaire, voire expiatoire, si les socialistes tiennent parole.
Le 10 juillet, ils étaient plusieurs dizaines de parlementaires, réunis à l’Assemblée pendant plus de trois heures, pour revenir à froid sur le résultat calamiteux des élections et repenser la place et le poids pris par l’Europe, qui déchire tant la gauche depuis 2005.
Pour l’occasion, la petite délégation socialiste qui siège à Bruxelles est presque au complet. Pierre Moscovici et Elisabeth Guigou,…