Il y avait quelque chose de vertigineux dans l’enjeu du sommet européen extraordinaire des 30 et 31 mai, à Bruxelles : ou les Vingt-Sept parvenaient à un accord sur le sixième train de sanctions et donc sur un embargo contre le pétrole russe, ou bien ils prenaient le risque de laisser s’enliser définitivement le dossier après un mois de tractations éprouvantes pour les nerfs des diplomates. Et de briser l’unité préservée coûte que coûte, parfois à grand-peine, depuis le début…
L’UE sauve la face en arrachant à Orbán un accord sur le pétrole russe
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