Depuis le début des discussions sur la loi Nome , censée libéraliser le marché français de l’électricité, Bruxelles surveille Paris de près.
La Commission européenne passe aujourd’hui à l’action, estimant ne pas comprendre le choix du gouvernement français de fixer le prix d’accès de l’électricité nucléaire à 40 euros le mégawattheure au 1er juillet, puis 42 euros à partir du 1er janvier 2012, pour les concurrents d’EDF.
Prix injustifiés
"A ce stade, le manque d’information sur la méthode pour fixer…