Ce n’est pas la Commission européenne qui remettra en cause la loi sur la nouvelle organisation du marché de l’électricité (Nome) . Adoptée en France à la fin de l’année 2010, elle vise à achever une libéralisation, entamée par l’UE au début des années 2000.
A peine trois mois avant l’élection présidentielle, Bruxelles a abandonné, vendredi 26 janvier, ses poursuites engagées en 2006 contre la France, pour mauvaise transposition de la directive sur la libéralisation du marché de l’électricité.