Depuis 2006, Paris et Bruxelles ferraillent sur la concurrence au sein du marché français de l’électricité. A l’époque, la Commission européenne épinglait la France pour son retard à mettre en œuvre la libéralisation.
Un an après, elle suspectait le maintien des tarifs réglementés pour les professionnels de constituer des aides d’États susceptible de créer des distorsions de concurrence.
Après plusieurs années d’enquête, l’exécutif européen a finalement approuvé les aides d’État présentes dans les tarifs réglementés pour les grands et moyens…