À Paris
Les acteurs économiques et les élus des territoires retiennent leur souffle depuis l’annonce présidentielle d’un moratoire sur les grands projets d’infrastructures, en juin 2017. Tous les financements sont gelés – Nicolas Hulot a confirmé la baisse des crédits transports à venir dans le budget 2 018 – en attendant les arbitrages qui se retrouveront dans la "loi d’orientation des mobilités". Cette dernière, que le chef de l’État souhaite voir adoptée au premier semestre 2018, comportera une programmation quinquennale…