Plus de trois mois après sa présentation par le gouvernement, la réforme ferroviaire attend toujours de passer sous les fourches caudines du Parlement, d'ici l'été.
Un délai qui n’éclipse en rien l’enjeu du rail. Au contraire, il prolonge la réflexion dans ses moindres aspects.
« En matière d’ouverture à la concurrence, le diable se cache dans les détails. Il y a même beaucoup de diables », tance Elizabeth Flüry-Hérard, vice-présidente de l’Autorité de la Concurrence. Les rivaux de la SNCF et le…