Ils financent des chantiers d’insertion pour les chômeurs, aident les entreprises à accueillir des travailleurs d’autres pays européens ou accompagnent les créateurs d’entreprises en milieu rural.
Des missions dont l’utilité est reconnue par Bruxelles, qui leur apporte son concours via le Fonds social européen (FSE). En théorie.
Trois à quatre ans après avoir mené leurs actions, 44 organismes espèrent en vain l’arrivée de leurs subventions européennes. Le scénario peut paraître aussi banal que la complexité du circuit des fonds structurels…