Depuis plusieurs mois, les ambassadeurs de la politique de cohésion s’activent afin d’éviter une baisse drastique des subventions régionales, cumulant les rencontres à Bucarest, Bratislava et enfin Bruxelles, le 13 novembre.
Le défi s’annonce compliqué, car cette politique profite surtout aux pays de l’Est et du Sud, dont l’apport au budget européen est sans commune mesure avec les contributeurs nets (Allemagne, France, Grande-Bretagne…) partisans d’un allègement des dépenses européennes.
Réunis à Bruxelles, les représentants des 15 pays du groupe informel…