« Quand j’étais entrepreneur, j’ai été marqué dans ma chair par la discrimination de certains opérateurs. Je comprends d’autant mieux la nécessité d’un Internet libre et ouvert ». Cette tirade de Tom Wheeler, jeudi 15 mai, vise à désamorcer les critiques qui abondent depuis les fuites dans la presse de son projet de régulation du haut débit, officiellement rendu public le même jour.
Déterminé à voir aboutir une réforme contestée, l’homme qui, à la tête de l’Agence fédérale américaine des communications, préside à l’avenir de…