A l’issue de la réunion des 27 ministres des Finances, le 8 novembre, deux camps se sont clairement dessinés. Le duo franco-allemand, appuyé par l’Espagne, fait face à la fronde des pays anglo-saxons, désormais très offensifs.
« Je suggérerais que nous enterrions cette idée », a asséné le ministre des Finances britannique, George Osborne.
« Il serait très coûteux, pour nos services financiers, que la taxe soit à Dublin mais pas à Londres », a averti son homologue irlandais, Michael…