Les tourments de la zone euro ont dominé les débats au cours des premières séances de travail au sommet du G20, jeudi 3 novembre. Mais les dirigeants ont tout de même évoqué le projet d’une taxe sur les transactions financières, cher au président français et à la chancelière allemande.
« Compréhension »
Les ministres des Finances du G20 l’avaient massivement rejeté mi-octobre. Mais le Président américain s’est montré plus ouvert à la discussion en étant prêt à reconnaître les bénéfices…