En juin prochain, la Grèce sera de nouveau dans le viseur de Bruxelles, non pas pour contrôler l’état de ses dépenses publiques, mais pour évaluer sa politique migratoire, qu’il s’agisse de la prise en charge des demandeurs d’asile, ou du sort à réserver aux clandestins.
La situation géographique du pays l’expose à des flux importants : en 2011, plus de 61000 migrants en situation irrégulière ont été repérés à la frontière gréco-turque. Sans un effort de la part d’Ankara, la…