Tolérance zéro à l’égard des sorties de piste. C’est en résumé ce que réclame le premier ministre néerlandais Mark Rutte, dans une lettre adressée aux parlementaires nationaux.
Rapporté par le site EU Observer , le projet néerlandais offre deux options aux États qui violeraient le Pacte de stabilité. Soit le pays se résout à être placé sous la tutelle d’un commissaire européen chargé de réorienter la politique fiscale du pays (coupes budgétaires, augmentation de taxes…) Soit l’État refuse cette ingérence…