Pour cultiver un hectare de blé qui donnera un rendement entre 90 et 100 quintaux, il faut compter environ 600 millimètres d’eau. Dans certaines régions céréalières, cela correspond quasiment aux précipitations annuelles.
Lors de sécheresses, l’agriculteur n’a d’autre choix que d’avoir recours à l’irrigation ou de se résoudre à voir son rendement diminuer. En 2003, ils réduit de 12,8% sur l’ensemble du territoire français, selon les chiffres de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).
Effet pervers
En matière agricole,…