Marine Le Pen l’affirme, elle n’y est pour rien. Si celui qui assure la co-présidence du groupe politique ( Europe des Nations et des Libertés ) avec elle, Marcel de Graaff, a voté à huit reprises pour elle, lors de la plénière du 28 octobre, c’est contre sa volonté.
Le règlement du Parlement européen prévoit des sanctions uniquement à l'encontre de l’élu qui commet l’acte, et non de celui qui est absent. Ce qui semble dédouaner la patronne du FN…