« Routinière », « éternelle », « déséquilibrée », « non exclusive »… La litanie d’adjectifs qualifiant la relation franco-allemande se renouvelle, mais ses fondamentaux restent inchangés. Entre les deux pays, pas de génie spontané qui aurait conduit le tandem à une lecture concordante de la crise et des remèdes à apporter.
« Les Allemands ont une autre culture économique, qui pèse davantage que le jeu partisan entre la gauche et la droite », souligne Claire Demesmay, chercheuse au Conseil des relations étrangères DGAP, un think tank allemand. Et pour…