C’est une équation compliquée que Bruxelles demande aux Etats. Vigie des finances publiques, prête à dégainer l’arme des sanctions financières en cas de dérapage, la Commission enjoint les gouvernements à ne pas mettre en pièce l’Etat providence.
« Il est fondamental d’investir dans le domaine social si nous voulons sortir de la crise plus forts, plus solidaires et plus compétitifs. Si les États membres n’investissent pas aujourd’hui, l’addition financière et sociale sera bien plus salée demain », prévient Laszlo Andor,…