Mises au ban depuis juillet, les obligations grecques reviennent dans le giron des actifs que les banques peuvent offrir à la Banque centrale européenne en contrepartie de l’argent emprunté auprès de cette dernière.
Une décision qui fait suite à « l’évaluation positive » de la Troïka (Commission européenne, FMI et BCE) sur l’exécution des réformes demandées par les bailleurs publics du pays. La BCE salue ainsi les « mesures déjà mises en œuvre » en matière de « consolidation fiscale, de réformes structurelles, de privatisation…