« Un coup de couteau dans le dos » des dirigeants européens. Voilà ce que représente, pour l’ancien ministre des Finances grec, Stefanos Manos, la décision de George Papandréou.
Le Premier ministre grec a en effet créé la surprise, et suscité la fureur de Paris et Berlin, en prenant cette initiative de manière isolée, quelques jours à peine après un sommet-marathon, mercredi 26 octobre, qui aura dressé les bases d’un nouveau plan de sauvetage de la zone euro.
La France…