Un nouvel acte politique s’ouvre pour la taxe sur les transactions financières, qui sommeillait depuis quelques mois dans les tiroirs européens. Onze États acceptent d’être les fers de lance du projet, portés par l’impulsion franco-allemande. La mise en place d’une “coopération renforcée”, outil permettant aux gouvernements de lancer des expériences pilotes, n’était pas acquise, par manque de volontaires. Le seuil minimal de 9 États peinait à être atteint.
Pour quoi faire ?
Sept gouvernements ont d’ores et déjà fait part…
Les États volontaires
7 États sont à l’avant-garde du projet et ont déjà envoyé leur courrier à la Commission. Il s’agit de l’Allemagne, de la France, de la Belgique, de l’Autriche, de la Slovénie, du Portugal et de la Grèce.
4 États s’apprêtent à adresser leur lettre : l’Italie, l’Espagne, l’Estonie et la Slovaquie.
Le projet est donc rallié par les quatre grandes économies de la zone euro.