En arrivant au pouvoir, le premier ministre espagnol dit avoir découvert le pot aux roses. Un déficit qui frôle les 9% (contre 6% attendus), des banques privées plus malades que prévu et des administrations publiques endettées au point de ne plus payer leurs fournisseurs. « Il y a eu plusieurs choses auxquelles je ne m’attendais pas », estime Mariano Rajoy dans une longue interview publiée le 2 décembre par le quotidien de droite La Razon.
Exposé au jugement de Bruxelles, le premier…